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Les Bouli la tête à l'envers
Les Bouli la tête à l'envers
11 juillet 2009

Fatigués mais contents

Nouvelle-Zélande, jour 1.

Après un très très très très très très très long voyage, nous voilà enfin arrivés !

Les vols et les transferts se sont bien passés, nous avons visité les aéroports de Roissy, Heathrow, Dubaï, Melbourne et Auckland. Au bout de quelques temps, impression de flotter dans un temps irréel, comme si le voyage n’allait jamais s’arrêter, sans plus aucun repère de jour, nuit ou heure de repas… Petite frayeur à Londres, au moment de l’enregistrement pour le vol pour Dubaï : comme j’ai acheté mon billet à mon nom de femme mariée, il faut l’autorisation d’un supérieur pour modifier les infos correspondant à mon passeport ! Le vol est retardé, les attentes aux contrôles interminables mais sans souci.

A Dubaï, on atterrit au milieu du désert. Il nous faut prendre une navette pour rejoindre l’aéroport. On sort donc dehors quelques minutes : il est 8 heures du matin et on étouffe déjà ! Il fait environ 40 ° et l’aéroport baigne dans un nuage de poussière et de vapeur.

Contrôle très light, moi qui avais lu partout que les officiers étaient très inquisiteurs ! Lors du vol Dubaï-Melbourne, Pascal d’ailleurs retrouvera enfin dans une des poches de sa polaire le gros coupe-ongles qu’il cherchait depuis des mois ! Ce coupe-ongles a donc passé tous les contrôles sans aucun problème !

6 heures de vol, puis 13 heures, puis 3 heures, c’est long, très long. On mange, on dort, on regarde des films – chacun a son petit écran personnel et un choix de plus de 150 films – et on joue à des jeux électroniques. Belle vue sur le désert au départ de Dubaï, puis mer de nuages et coucher de soleil. On fait scrupuleusement la gym des pieds pour faciliter la circulation sanguine.

Arrivé de nuit à Melbourne – il est 5 heures du matin – la ville est très plate, tracée au cordeau et très illuminée. L’atterrissage se fait en douceur, jamais eu un atterrissage aussi doux !, je le dirai d’ailleurs au commandant de bord croisé au contrôle en zone de transit. Tout le monde est très cordial, un couple de Néo-Zélandais revenant d’Allemagne où il était allé rendre visite à leur fille nous guide très gentiment car la signalétique dans l’aéroport pour la zone de transit est un peu inexistante ! Nous en profitons pour acheter des peluches pour les enfants : petit souvenir du pied posé en Australie : deux kangourous et un koala !

Nous retrouvons le même avion, les mêmes places et c’est reparti pour la dernière ligne droite !

L’arrivée en Nouvelle-Zélande se fait sous un temps changeant : soleil sur la campagne survolée, pluie battante pour l’atterrissage ! Accueil nature dans l’aéroport : des chants d’oiseaux sont diffusés par haut-parleurs ! Passage sans problème pour l’immigration, le fait d’être en famille a l’air de simplifier beaucoup les contrôles en général.

On récupère nos bagages : ils sont tous là ! Passage du contrôle des importations : pas de souci non plus (on doit déclarer nos chaussures de randonnées, qui sont vérifiées au niveau de la propreté pour éviter que l’on apporte en NZ des bactéries)

Récupération de la voiture et zou, c’est parti pour rejoindre notre premier motel ! La conduite à gauche est chaude, très chaude, c’est Pascal qui s’y colle ! Difficile de ne pas confondre essuie-glaces et clignotant, leurs emplacements sont intervertis !

Le motel est situé à Birkenhead, une banlieue résidentielle du nord d’Auckland : vallons très verts et jolies maisons en bois aux toits verts, rouges ou gris. Ambiance très anglo-saxonne. On part faire de petites courses alimentaires : découvrir les produits du supermarché est une vraie balade instructive ! Rayon interminable de pains de mie et yaourts… euh… improbables.

On prend le goûter dans un joli parc (Chelsea domain) mais il fait froid et nous sommes très fatigués, retour au motel !

Douche, dîner, un peu de télé histoire de se faire à l’accent (ici, on dit souvent « i » à la place de « e » comme lift pour left) et à la culture télévisuelle !

Grande nuit, avec consigne de ne pas se lever avant 6 heures du matin, il faut que l’on se fasse à l’heure locale !

(sorry, no photos... oublié de télécharger un logiciel de réduction de taille des images...)

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